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VIDEO - Témoignage d'une fiancée qui rejoint son mari en Europe et qui s'enfuit pour se faire engrosser par un autre (1ere PARTIE)

Written By FODABI on lundi 21 avril 2014 | 15:19

Pourquoi le passé se répète-t-il ?
 
Pourquoi toujours « choisir » le même type de partenaires
amoureux, indifférents ou violents, mais qui, de toute façon, nous feront revivre  inévitablement le même sentiment d’abandon si bien connu de notre enfance?
 
Pourquoi  reproduire avec nos enfants ces attitudes dominatrices qui ont marqué notre jeunesse à tel
point que nous nous étions pourtant bien promis de ne jamais les faire revivre aux autres ?

Pourquoi sommes-nous prisonniers, tel dharatarâstra, ce grand roi d’orient, qui, il y a de cela plusieurs millénaires, souffrant d’avoir perdu la maîtrise de sa vie, s’exclamait ainsi : « Je sais ce qui est bien et je ne le pratique pas. Je sais ce qui est mal et cela ne m’empêche pas de m’en abstenir. un dieu qui se trouve dans mon cœur me dirige et j’agis selon ses directives ». Quel est ce « dieu » qui dirige ainsi notre vie, se cache effectivement dans les profondeurs de notre corps et ordonne tous ces scénarios répétitifs qui échappent à notre volonté? Ce « dieu » dominateur, qui fait parfois office de « démon », s’appelle en réalité : « inconscient corporel », « mémoire émotionnelle » ou « mémoire corporelle ».

L’existence des « scénarios récurrents », des « compulsions de répétition » ou de ce que nous appelons plus communément nos « patterns » remonte fort loin dans l’histoire et continue de façonner notre histoire personnelle dont certaines pages se répètent douloureusement.
Si le passé se répète si douloureusement, c’est parce qu’il est inachevé.
 
Sur le plan émotionnel.
Une situation mal complétée, mal finie, entrave la libre expression de l’émotion qui reste alors figée,
gelée, imprimée en soi, au lieu de s’évacuer hors de soi.
C’est ainsi qu’un deuil, récent ou très ancien, que nous n’avons pas pu ou voulu pleurer, se manifestera par la persistance de nos maux de ventre ou la fréquence de nos migraines. les larmes contenues et retenues dans notre cœur brisé se feront entendre d’une autre façon. l’émotion étouffée prendra un moyen détourné pour s’exprimer : ce qui ne passe pas par le mot et l’émotion risque fort de se traduire en maux, car tout ce qui ne s’exprime pas, s’imprime, nous réprime, parfois même va jusqu’à nous supprimer en empruntant l’une ou l’autre de ces nombreuses maladies de civilisation dites psychosomatiques.

Combien de troubles cardio-vasculaires ou de cancers se sont préparés dès l’enfance, alors qu’ il était interdit de pleurer ou de se fâcher sous peine d’un retrait d’amour ou encore d’une menace physique?
Et pendant le reste de notre vie, cette interdiction originelle devient une auto-interdiction journalière très souvent même justifiée : pleurer devient une perte de temps, se mettre en colère, une perte d’énergie. mais où la charge émotionnelle s’en va-t-elle?

Justement, elle ne s’en va nulle part, puisqu’elle se loge dans notre mémoire corporelle et elle agit de manière souterraine.

Le non-exprimé émotionnel se loge et s’imprime en nous en construisant peu à peu une véritable cuirasse musculaire, telle une armure qui nous étouffe et nous écrase, contribuant par le fait même à la répétition de nos anciennes blessures émotionnelles.
L’émotion réprimée en nous agit un peu à la manière d’un aimant qui attire une situation semblable afin qu’elle puisse enfin s’exprimer et se libérer.

Notre corps cuirassé contient multitude de ces maux émotionnels reliés à des situations inachevées, camouflés dans nos maux physiques que le langage courant exprime fort judicieusement : « tenir le coup (cou) », « en avoir plein le dos », ne plus pouvoir « sentir » une personne ou « digérer » une situation. une page de notre histoire émotionnelle tente fréquemment de se raconter à travers nos douleurs et nos maladies, mais nous préférons éviter d’établir des liens avec notre vécu émotionnel. les muscles ne sont que des muscles, les émotions, que des émotions, et il n’y a aucun rapport entre le « corps » et « l’âme ».

Pourtant, les émotions respirent et vivent au cœur même de notre chair. bien sûr, tous nos maux corporels ne reposent pas sur d’anciennes blessures émotionnelles, mais il peut s’avérer judicieux de s’interroger sur notre vécu émotionnel qui précède la manifestation d’un symptôme.
nous aimerions bien croire que le passé est chose du passé et que nous n’y pouvons rien. Illusion que nous voulons réconfortante, mais qui dénote une bien mauvaise connaissance de ce passé  émotionnel.

Le passé vit encore en nous et contamine fréquemment notre présent. nous devons  apprendre à repérer ces situations où le passé se rejoue, parce qu’à ce moment précis, c’est un enfant d’âge préscolaire qui se retrouve aux commandes d’un corps d’adulte. un enfant blessé vit dans ce corps d’adulte qui voit le présent à travers les yeux du passé.

Sortir du passé, donc de notre enfance blessée, demande beaucoup d’humilité en sachant reconnaître ces moments d’immaturité et d’infantilisme qui nous empêchent de bien vivre le temps présent toutes nos relations affectives se construisent à partir de notre première relation d’amour avec les figures maternantes de notre enfance.
Cette première relation d’amour avec nos parents devient un prototype qui influencera notre façon d’être en relation. inutile de mentionner que les conflits, les blessures d’amour mal guéries se rejoueront dans nos relations affectives ultérieures.

Il y a souvent un important nettoyage à faire avec notre enfance et les émotions qui ne se sont jamais exprimées. la colère refoulée jadis se retournera souvent contre soi, à travers des idées dévalorisantes et autodestructrices, ou se déplacera sur nos partenaires amoureux ou nos enfants.

N’oublions jamais que le réprimé en nous cherche constamment une voie d’expression; si la voie — voix — normale reste interdite, d’autres voies détournées seront alors empruntées : les maux  physiques, relationnels ou existentiels.
Pour guérir nos blessures émotionnelles d’enfance, il convient également d’apprendre à faire de  l’instant présent une occasion de guérison.

Dans notre inconscient corporel, le temps n’existe  pas; ce qui s’est produit il y a trente ou quarante ans reste toujours bien vivant dans notre mémoire émotionnelle, et c’est justement parce que le temps cesse de s’écouler que l’instant présent peut devenir un moment de guérison. le passé et le présent se superposent, « cohabitent » dans le même temps et le même espace, et l’ancienne blessure d’amour peut se guérir grâce à une attitude  d’ouverture.

Ce qui n’a pas été évacué jadis, mais qui demeure toujours « frais » dans notre inconscient corporel, pourra-t-il trouver une façon de se compléter?

Les situations émotionnelles inachevées, toujours figées en nous, vont-elles pouvoir se compléter enfin dans l’expression libératrice ?
l’émotion nous ouvre souvent une porte sur le passé, d’autant plus qu’elle s’exprime dans la démesure, indice important dévoilant nos blessures anciennes.
 
Comment déjouer à ce moment précis l’emprise du passé ?
Allons-nous, encore une fois, ravaler ces émotions trop longtemps réprimées et contenir  intérieurement toute cette intensité émotionnelle ?
Nous laisserons-nous emporter par notre émotivité en revivant simplement nos anciennes blessures émotionnelles ou nous laisserons-nous porter par elle pour accéder véritablement au temps présent et à la maturité ?

L’émotion nous informe de nos besoins et sa démesure indique qu’il s’agit bien d’un besoin d’enfant
que nous espérons voir reconnu et enfin satisfait par l’autre. L’émotion informe, mais elle déforme  aussi notre perception. nous voyons le fait actuel avec les yeux du passé. Et que fait cet enfant   intérieur, prisonnier de son égocentrisme inhérent à l’enfance? il a toujours raison, son point de vue est le seul valable et doit absolument prévaloir sur tout autre point de vue extérieur.
 
Combien de nos scènes de couple se passent en fait entre deux jeunes d’âge préscolaire ?
Comment l’émotion doit-elle être utilisée pour accéder à la maturité ?
 
Si elle informe, mais en  déformant, elle a besoin d’être décantée, épurée afin de déboucher sur une communication véritable,  qui permet à nos anciennes situations émotionnelles inachevées de se libérer dans la parole. L’enfant possède un vocabulaire fort limité pour traduire son expérience émotionnelle, tandis que l’adulte que nous sommes devenus en possède amplement. Il manque simplement la volonté de rester ouvert à la communication tout en développant une qualité de présence à soi comme à l’autre.

Cette présence à l’autre — je suis là pour toi — inséparable d’une présence à soi —  je suis en contact avec mes sentiments — et d’une présence à la situation — le passé contamine-t-il actuellement le présent ?
— offre un contexte de guérison du passé. Cette qualité de présence favorise une communication  réciproque dans un contexte non défensif et vient, en quelque sorte, réparer nos blessures d’enfance,  si souvent reliées à une présence parentale déficiente dont nous avons souffert le passé émotionnel s’achève et se complète grâce à cette qualité de présence dans notre communication qui s’effectue alors au temps présent.
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